22 juin 2013

Les teneurs en polluants des rejets gazeux du mois de mai 2013.




Résultats des moyennes journalières du mois de mai 2013 en teneurs des polluants gazeux des fours N° 1 et N° 2 de l'unité d'incinération SETOM/ECOVAL de Guichainville.


Four N°1 Mai 2013

Four N°2 Mai 2013




13 juin 2013

Je veux mon bac bio.


Le 4 juin le Centre National d'Information Indépendante sur les déchets (CNIID) a lancé la campagne « Je veux mon bac bio » pour le tri des biodéchets. En 10 jours, ce sont plus de 4100 personnes qui ont signé la pétition "je veux mon bac bio". Le démarrage de cette campagne est donc très encourageant pour la suite.

Il s’agit de montrer le potentiel de valorisation des biodéchets (compost et biogaz) et de dénoncer le gâchis lié aux modes de traitement actuels (incinération et stockage), en plus d’être polluants et coûteux.

Le tri des biodéchets à la source est l’unique solution pour gérer durablement les biodéchets. Un large éventail de choix existe pour traiter les biodéchets triés par les habitants : du compostage chez soi à l’usine de méthanisation et compostage. Ainsi valorisés, ils peuvent produire un amendement naturel pour les sols agricoles (compost) et sont une source d’énergie renouvelable, utilisable en carburant, chauffage et électricité (biogaz).

Les biodéchets représentent plus du tiers de nos ordures ménagères et sont encore jetés en mélange dans la poubelle avec les autres déchets.
Les trier permettrait de produire un compost de qualité et une énergie renouvelable, alors interpellons nos élus pour réserver un autre avenir à nos biodéchets. 
Signez la pétition


5 juin 2013

OGM, pesticides, etc... Quel avenir promettent les biotechnologies?




Conférence de Joël Spiroux.
Président du CRIIGEN (Comité de Recherche et d?Information Indépendant sur le Génie Génétique) Pôle Risques, Qualité et Environnement Durable - MRSH-CNRS Université de Caen 1er Vice Président URPS ML Haute Normandie Président de la commission santé/environnement URPS de Haute Normandie.

Depuis l’avènement de l’ère industrielle, nous déversons sur la planète une quantité très importante de xénobiotiques (3millions de tonnes en 1930, 410 millions de tonnes en 2010 OMS). De façon concomitante,  nous constatons une augmentation très importante de pathologies lourdes : cancers, stérilité ou hypo fécondité, perte de 50% des spermatozoïdes en 50 ans, maladies neuro dégénératives, malformations néonatales, allergies…La relation de cause à effet est confirmée par l’atteinte de la faune et de la flore sauvage qui s’est manifestée par une perte de 50% de la biodiversité au cours de ce même laps de temps. Après l’ère hygiéniste pasteurienne le 21ème siècle devra devenir l’ère de l’hygiène physico chimique. Parmi ces xénobiotiques nous allons évoquer les pesticides et les OGM, (plantes à pesticides), dont l’évaluation toxicologique est particulièrement insuffisante et inadaptée pour protéger la population mondiale.


Conférence du 7 juin 2013 18h 30 - Amphi C - Université d'Évreux